mardi 22 mai 2007

lettre de Juppé

Lettre de Juppé du 3 mai 2007. (un passage). à la présidente nationale du CNI :


"Je souhaite bonne chance à votre nouveau Président dans ce département,Monsieur Jean-Claude Abanadès , pour y représenter vos couleurs " CNI..

samedi 19 mai 2007

Les candidatures de Droite

Je ne reviendrai pas sur la question des multiples candidatures émanant de la majorité présidentielle sur la 11ème circonscription.
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Toutefois je tiens à apporter quelques précisions sur la position des Indépendants en France d'une manière générale et en Gironde en particulier.
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En effet, le nouveau Président de la République s'est inspiré de nombre d'idées émanant de notre parti pour élaborer son programme "tel que le droit opposable pour la garde des enfants".
En outre, le C.N.I. a toujours apporté son soutien au candidat Nicolas SARKOZY. Cela s'est notamment traduit par le retrait de la candidature de Jean-Michel JARDY alors candidat aux élections présidentielles.
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Je tiens également à vous rappeler que Nicolas SARKOZY a été élu en 1983 Maire de Neuilly particulièrement grâce aux 3 voix des conseillers municipaux du C.N.I.
Enfin, le C.N.I. a participé au financement de la campagne présidentielle du candidat de l'U.M.P. aux élections présidentielles.
Les responsables du C.N.I. sont des femmes et des hommes de convictions, libres et responsables, imperméables aux modes éphémères, soucieux du bien commun.
Tels sont les éléments que je tenais à vous apporter pour ensuite aborder dans les meilleurs conditions possibles les élections futures.
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Les primaires c'est un gage de succès, ce n'est pas un gage d'échec.
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Le Président de la Fédération du Centre National des Indépendants et Paysans de la Gironde

Jean-Claude ABANADÈS
Maire de SABLONS

Le mot de Brigitte aux éleveurs

A travers mon exploitation d'élevage je connais les difficultés que vous traversez.
En effet, la concurrence déloyale qu'exercent les pays émergeants où les éleveurs ne sont pas liés à un joug de réglementations, de lois, de contraintes plus ou moins irréalistes.
Des éleveurs qui ne connaîtront certainement jamais les 35 heures et les R.T.T.
Il est enfin temps que les politiques s'attachent sérieusement aux véritables problèmes de l'agriculture.
C'est pour cela que je fais confiance à Jean-Claude ABANADÈS. L'éleveur.
C'est un homme qui nous ressemble. Comme nous il connaît les invraisemblables difficultés à compléter les dossiers "P.A.C."
Comme nous il connaît les aberrations des contrôles des exploitations qui ne prennent aucunement en compte les réalités de notre métier.
Parce qu'il a cette connaissance du terrain et de notre métier je sais qu'il saura porter notre voix et nul autre que lui ne peut être mieux placé pour porter haut les valeurs de notre région.
De plus en tant que Maire d'une commune rurale depuis des nombreuses années et par les épreuves qui ont jalonné sa vie je sais que c'est une homme de coeur et de conviction.
N'hésitez pas, apportez lui votre voix, dès les premier tour, faites lui confiance.
Je suis sincèrement convaincue que s'il est élu, l'élevage connaîtra dans notre région une ère nouvelle.

Votre dévouée,

Brigitte Lafargue
Exploitante
Conseillère Municipale de Coutras

vendredi 18 mai 2007

le clin d'oeil




le clin d'oeil,

le clin d'oeil












Ce n'est pas un montage

mercredi 16 mai 2007

logo des Indépendants et Paysans

Le courage de dire

La volonté de faire

Sarkozy avec les indépendants.


Conformément au souhait de Nicolas Sarkozy, Le Comité Directeur du CNI a eu le plaisir de le recevoir lors de la réunion qui s'est tenue le 31 mars dernier à l'assemblée Nationale.
Annick du roscoat a rappelé lors de son intervention que "les responsables du CNI étaient des femmes et hommes de convictions,libres et responsables, imperméables aux modes éphémères,soucieux du bien commun".
Elle a par ailleurs insisté sur "les quatre thèmes qui forment la colonne vertébrale de notre mouvement à savoir:
la liberté,la responsabilité,le progrès et l'indépendance".
Nicolas Sarkozy a répondu sans détours aux attentes et préoccupations des Indépendants.

Cultivateur d'indépendance

Travail, indépendance et famille. Cela pourrait être le slogan de campagne de Jean-Claude Abanadès mais également la colonne vertébrale de sa vie.

Petit-fils d'un Espagnol qui a traversé les Pyrénées au début du siècle, il ne supporte pas qu'on assimile le travail au capitalisme. "Mon père m'a toujours appris que pour s'en sortir, il fallait travailler", martèle-t-il. Il ajoute fermement "Et ensuite être poli. Il faut toujours dire bonjour le premier".

Jean-Claude Abanadès a grandi entre Sablons et Fronsac où ses parents étaient à la fois agriculteurs, épiciers et même garde-champêtre. A 21 ans, il choisit d'entrer à la SNCF. "Je voulais juste être indépendant, explique-t-il. J'aurais pu tout aussi bien devenir épicier ou éleveur".

Ce désir d'indépendance va très vite l'amener à varier ses activités "J'avais ma place à la SNCF, mais quel que soit l'endroit où j'étais, j'avais toujours des comptes à rendre". Pour échapper à ces concessions, il suit donc les traces de son père, parallèlement à son "vrai métier". Il s'occupe, après la mort de ce dernier, de 45 bovins et de 4 hectares de vignes. Une partie de son héritage.

"Mais bon, un éleveur sait bien que ça ne rapporte pas grand-chose. C'est un moyen de me rapprocher de la nature".

Humanitaire. Proche de la nature et de Sablons. Une terre que Jean-Claude Abanadès n'a jamais quittée, par choix. "Ma femme a un commerce, j'ai mes vignes, mon élevage...".
Deux enfants, un fils de 28 ans et une fille d e14 ans complètent la famille. Pudiquement, Jean-Claude Abanadès précise: "S'il y a tant d'écart entre mes deux enfants, c'est que j'ai perdu une petite fille alors qu'elle n'avait que quelques mois." Cette histoire douloureuse explique son investissement auprès des personnes en souffrance. Nancy Pons, sa directrice de campagne, présidente d'une association à Sablons, souligne "Il est touché par les difficultés des autres. Même si ça ne se sait pas, il répond toujours aux gens qui viennent vers lui. Cela résonne en lui".

Pour ce qui est de son engagement politique, qui commence dans les années 90, Jean-Claude Abanadès a là aussi suivi les pas de son père, ancien adjoint au maire à Fronsac. Encarté à droite "évidemment".

Mais Jean-Claude Abanadès a cette fois dépassé son père en s'installant dans le fauteuil de maire, en 1995, à Sablons. "A chaque fois, la liste complète est sortie", dit-il fièrement pour prouver que son ouverture d'esprit est une réalité.

"Dans mon conseil, j'ai des gens de toutes tendances. Je les choisis pour leurs compétences et non pour leur parti. Je suis dans le même état d'esprit pour les législatives".

"Être le leader". Ancien RPR et UMP, le maire de Sablons concourt désormais sous la bannière du CNI. "J'ai fini par trouver que l'appareil politique UMP était trop lourd. C'est difficile de se faire entendre. Les décisions ne viennent plus de la base mais des dirigeants". Même s'il a soutenu Nicolas Sarkozy pour les présidentielles, sa rupture avec l'UMP remonte à 2003. "En 2002, j'étais dans la même position que Jean-Jacques Edart (1) aujourd'hui. L'UMP et l'UDF avaient alors choisi une seule candidature, celle de Picotin. Je me suis retiré car j'ai pensé à l'intérêt général. Mais je comprends la position d'Edard de se maintenir comme celle du parti politique". "Une droite si divisée, c'est catastrophique", lâche-t-il néanmoins.

Alors pourquoi ajouter à la division? Jean-Claude Abanadès répond en affichant son ambition: "Je veux être le nouveau Picotin et devenir le leader de l'opposition sur cette circonscription ou, d'ailleurs, de sa majorité!".